Cette ancienne girouette en zinc a subit les outrages du temps, plusieurs restaurations ont déjà été effectuées.
Son axe a été rechemisé pour combler l'usure due à sa rotation, et sa scène agrafée au niveau des rennes et des brancards pour réparer les déchirures d'un métal usé à coeur.
La nouvelle girouette de La Chapelle-Souëf reprend la forme de la scène originelle jugée trop dangereuse pour être replacée en toiture.
La roue a été dégagée de la matière comme l'avait tracé l'artisan de l'époque par des coups de pointeaux. Cette découpe n'avait alors pas été faite pour laisser de la résistance à l'ensemble.